La vérité est comme le soleil.

Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder

JE RESPECT LA VIE

Lorsque le manque d'égards de nos proches nous blesse, débranchons mentalement le fil qui nous relie à eux et laissons le temps accomplir son oeuvre pacificatrice. Il ne sert à rien de nous poser en victimes et chercher à culpabiliser les gens qui nous entourent. Un retrait, un temps mort dans une relation n'en signifie pas la fin.

Nous devons apprendre à respecter les cycles naturels qui s'installent dans nos amitiés et dans nos amours. Lorsque survient le creux de la vague, acceptons sans désespoire de voir les nôtres s'éloigner pendant quelque temps.

Permettons-nous de grandir dans cette situation en nous occupant nous-même de l'enfant en nous qui réclame de l'attention. En réfléchissant, nous pourrons relier ce que nous vivons avec quelque événements de notre enfance. Comment réagirons-nous devant la résurgence de cet enfant blessé qui n'a jamais été consolé ?

J'accepte de voir ceux que j'aime s'éloigner : il n'en sera que plus plaisant de les retrouver.

" L'homme naît tout prêt pour la douleur, avec un appareil héréditaire de transformation et de résistance, dont la pièce majeure est la joie. "

( Léon Dandet )

JE TRAVAILLE INTÉRIEUREMENT

Que faire lorsque nous dérogeons à nos principes d'ouverture et de tolérance ? Il arrive souvent qu'une personne nous énerve, que nous soyons impatients ou que nous trouvions difficile de nous inrétesser aux autres. La meilleure tactique est alors d'accepter cet état de choses. Admettons simplement la vérité en nous disant :

" Je n'arrive pas à me sentir en état d'amour. "

Une fois le problème déterminé, manifestons notre désir de changement :

" Je suis prêt à changer d'idée sur cette personne ou cette situation. "

Ce processus intérieur ne prend que quelques secondes. Ensuite,

laissons aller les choses. Il se passera à coup sûr quelque chose

de positif. Il ne sert à rien de se culpabiliser, de s'imposer une

ligne de conduite et de faire des efforts pour être une bonne

personne. Optons plutôt pour la simplicité. Reconnaissons la situation et proclamons intérieurement notre ouverture

d'esprit. C'est suffisant. Les plus grands changements sont intérieurs. J'observe avec vigilence mes états d'âme et j'accepte de les modifier.

 " Conquérir sa joie vaut mieux que s'abandonner à sa tristesse ".

( André Gide )

enfin vendredi

tendresse

 

Passez une excellente journée !